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La nécessité de créer, le goût pour l'expression plastique, sont nés, chez Nadia, à l'adolescence et ne l'ont plus quittée.

Au point d'en faire son métier, puisqu'après une licence et un CAPES d'arts plastiques, elle a enseigné cette matière dans divers établissements de bordeaux et de ses environs.

Après la transmission de cet amour des arts plastiques, et dégagée de ses obligations professionnelles et familiales, elle se consacre à présent à temps plein à cette passion pour la création.

 

Après une période souvent plus introspective et plus sombre, où la technique du marouflage

(papier collé (plissé, plié, froissé...) sur un support rigide ou sur châssis toilé, puis peint à l'acrylique)

occupait une part importante de son travail, Nadia se tourne maintenant vers le monde extérieur

(paysages, personnages...) .

Dans une posture contemplative, elle donne à voir la sérénité que procure ces grands espaces, où l'eau (mer, océan, fleuve...) n'est jamais très loin,

voire figure au premier plan, et où le ciel joue un rôle important.

Grands espaces où les êtres vivants sont souvent présents,

infiniment petits dans l'immensité du monde...

...et dans l’étendue du tableau.

Les personnages sont parfois littéralement mis en avant, saisis dans l"'intimité"

de leurs occupations estivales, dans des formats plus petits.

Le côté rassurant du rythme graphique des forêts en général, et des pins des Landes en particulier, participe également de ce désir d'apaisement face au fracas du monde.

Horizontalité et verticalité ponctuent l'espace représenté dans sa profondeur et dans sa latéralité.

La verticalité de l'arbre, le lien qu'il induit entre terre et ciel,

racines ancrées, feuillage tendu vers la lumière,

opposée à l'horizontalité du sol, de la terre ou des étendues d'eau,

interrogent tout autant notre place sur terre.

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